Claude SEssaie Au Porno. 3
CLAUDE SESSAIE AU PORNO. 3
-Ben mon cochon, tu cachais bien ton jeu, toi ! Tes membré comme Ian Scott ! On peut dire que tu bandes comme un bouc, pauvre chéri. Dans quel état te voilà ? Tu veux que je te branle ?
Et Alexia den remettre une couche :
-Tu as raison surette, le petit poney a une véritable queue détalon !
Suite :
Son autre main abaisse un peu plus mon slip pour libérer mes bourses et se met à les malaxer frénétiquement. De sa première main elle branle ma vigoureuse verge et chouchoute mon gland avec ses lèvres et sa langue. Elle croit que si elle continue à ce rythme, je ne tiendrai pas longtemps quand elle mentend gémir mais cest mal me connaître. Elle accélère sa branlette et aspire fort sur mon gros gland gorgé de sang. Mon sexe est redevenu incroyablement ferme, je me demande sil ny avait pas quelques aphrodisiaques dans ce que jai bu ou mangé.
Martine dit à Julien de se pencher en avant pour filmer en gros plan et me demande de bien écarter les jambes pour avoir une vue totalement ouverte sur la scène. Dun ton sec, sans tourner la tête en continuant ses indications techniques, elle approuve le plan rapproché :
-Oui, oui, impeccable, Lydie, impeccable
Très bien, très-très bien. Et toi Claude bravo ! Tu combles mes espoirs les plus fous. Mais maintenant, je veux que tu les prennes, que tu passes de lune à lautre, tu les prends, les encules le plus longtemps possible, ne tinquiète-pas, elles ont lhabitude même si elles vont brailler un peu car ton calibre est quand même exceptionnel.
Sa chatte sur ma bouche, Alexia se penche sur mon corps, ses seins sécrasent sur mon ventre pour venir partager le festin avec sa jumelle. Deux mains branlent en cur ma verge, deux bouches embrassent mon gland, lèchent ma queue, en appréciant le goût acre et salé de lengin et des traces des sécrétions de tout à lheure. Elles ny tiennent plus et lengouffrent à tour de rôle dans leur bouche, le sucent goulûment, montant et descendant dabord doucement puis de plus en plus vite.
Lydie me demande :
-Les filles doivent couiner avec un tel manche, du dois essuyer des refus.
- Effectivement, je lui réponds dune voix assourdie par ce qui lencombre, certaines nencaissent pas mais jarrive toujours à trouver chaussure à mon pied
Je les laisse me sucer un bon moment avant que Lydie fasse une drôle de proposition à sa sur :
-Avec lui, on doit pouvoir faire le sandwich, je fais le jambon !
-OK Lydie, mets-toi en position.
Je suis étendu sur le dos, Lydie se couche sur moi, ses fesses appuient sur mon bas-ventre, elle écarte les cuisses pour laisser passer ma verge. Sa vulve épouse la forme de ma hampe, elle emprisonne le plus fort possible mon pénis dont quelques centimètres émergent comme si elle était une shemale. Sa jumelle se couche sur elle, bouche contre bouche, poitrine contre poitrine, pubis contre pubis.
Mais pour le troisième point, Lydie sembroche sur mon nud dont les quelques centimètres libres suffisent pour atteindre son point G.
Je supporte difficilement le poids des deux filles qui ne soccupent plus de moi comme si je nexistais plus. Elles se donnent du plaisir entre elles, échangeant leur place pour connaître chacune à leur tour la montée de lorgasme. Mais au bout dun moment, Martine veut un peu plus daction et reprend la direction des choses.
-Eh les deux gouines ! Occupez-vous plus de Claude ! Et toi, tu es le mâle, prouve-le !
Je dis aux filles de sallonger sur le lit sur le dos, la tête dans le vide et me place devant une jolie bouche dans laquelle jenfonce ma queue. Lydie lâche un râle quand en quelques allers-retours, je la possède complètement, sa tête toujours dans le vide, enfonçant mon gland jusquà sa glotte, elle na pas dautre choix que davaler le morceau.
Je réitère laction avec sa sur, lui baisant littéralement la bouche, manquant plusieurs fois de la faire vomir tant jy vais sans ménagement. Des larmes coulent des yeux des jumelles, de grands filets de bave relient les deux bouches à ma verge.
Je fais le tour du lit, et lune après lautre, je tire sur leurs chevilles pour minstaller confortablement entre leurs cuisses, prenant les seins dans mes mains, les pétrissant, caressant ces corps partout. Quand je sens mon gland positionné au bon endroit, jentame un lent mouvement du bassin, faisant disparaître petit à petit dans lune des chattes quelques centimètres de ma virilité puis ressortant pour lui laisser le temps de saccommoder à la grosseur et de la fermeté de mon pénis. À chaque mouvement, je pénètre de plus en plus jusquà ce quelle se sente totalement pleine et remplie puis jentame une cadence plus rapide.
Lydie plaque ses mains sur son bas-ventre, entourant ma verge comme dans un dernier réflexe de défense. Le sourire en coin, elle resserre ses doigts sur mon sexe pour en contrôler la pénétration, ne sachant pas si elle réussira à la prendre toute entière dans son vagin. Mais ce qui est sûr, cest quelle sagrippe à ma bite pour en atténuer les ruades quand je vais trop loin et écrase de mon gland lextrémité de sa grotte, prenant maintenant tout mon plaisir à baiser cette fille avant de passer à sa jumelle, claquant sur une fesse quand je veux changer de partenaires. Elles hurlent chacune à leur tour, transportées par les bruits de succion de leur coquillage autour de mon dard. Mais Martine simpatiente :
-Claude, passe à la suite et encule-les, tu vois bien quelles sont prêtes et se sont abondamment graissé le fion !
Mon cerveau doit reprendre la direction des opérations à mon sexe, et soumettre les filles à la volonté de leur patronne.
Charles sétend de tout son long à coté des filles, le caméscope vissé à lil, attendant que je les encule.
Concentré, faisant attention de ne pas jouir, je commence à pistonner la rosette dAlexia qui se tortille sur le lit, le visage crispé en une mimique de souffrance et de plaisir mêlés, couinant son plaisir ou sa douleur car son anus résiste à lassaut. Avant même que Martine ne le lui ordonne, elle a passé une main entre ses cuisses, cherchant mes couilles ballottantes.
Je sens mon gros chibre pénétrer lorifice, écrasant mon propre membre de sa masse sur la rosette qui cède enfin et souvre comme une fleur. Sa sur inquiète que je déchire son fion, vient saisir ma hampe dune main ferme.
Comme un navire qui courre sur son aire, ma poussée est inexorable et mon mandrin, comme un gode gonflable, reprend du volume une fois la porte passée si bien que tout mouvement devint impossible tellement mon sexe broyé retrouve sa taille colossale. Je dois attendre que son sphincter se dilate un peu et au bout d'un temps qui me parait interminable, je sens que jarrive à la garde.
Sa cyprine coule de sa fente et vient huiler le piston qui sactive dans son cul. Je sors ma queue de son cul et plonge dans sa chatte pour une lubrification express de mon chibre. Le contraste est saisissant, autant la progression de ma teub était lente et difficile dans son cul, autant mon gourdin entre dans sa chatte sans résistance.
Que choisir ? La facilité dans sa gaine de velours qui ne peut tout accueillir ou bien le délice de plonger jusquà la garde mon jonc dans ce tunnel si serré.
Jalterne entre son cul et sa chatte et plus le retour dans son cul est facile. Je me délecte de l'alternance de pénétration entre ces deux trous. Je fais subir le même sort à Lydie. Même cause, même effet.
Quand Jestime que leur cul est assez lubrifié, je commence à limer uniquement celui-ci de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mais martine ne veut pas que je graisse leur conduit.
-Claude, Couche-toi sur le dos et laisse les filles te finir, je veux te voir jouir en gros plan !
Il mest difficile de lui obéir mais les filles en bon soldat, me pousse sur le lit.
-Attention ! Aaahhh ! Je vais cracher !
Dès que ma lance sort dune bouche affamée, je ne peux m'empêcher de crier ma jouissance.
Les filles narrivent pas à décoller leur regard de ma queue aux proportions inhabituelles qui se dresse fièrement entre leurs mains, vibrante de lincroyable orgasme qui la secoue et de toute la purée expulsée si furieusement.
-Putain Charles ! Jespère que tout est dans la boite. Regarde-ça ! Il en a jusque dans ses cheveux !
A vous les filles ! Nettoyez-moi ça avec vos bouches !
Les jumelles ne se le font pas dire deux fois et lèchent toute cette semence, en humant son odeur forte et en appréciant la consistance.
Je nai pas encore débandé que Martine revient à la charge :
-Te sens-tu suffisamment en forme pour sodomiser Josiane pendant quelle est encore dilatée ?
Jânonne de la tête mais il faut quelle vienne tout de suite avant que je ne débande trop.
Josiane qui est revenu dans la pièce, s'approche de moi et guide ma queue directement entre ses fesses après en avoir retiré un Plug. Elle enfonce lentement ma teub dans son cul encore dilaté en grimaçant, luttant contre le monstre qui détruit son petit trou. Heureusement que sa cyprine qui s'écoule presque aussitôt de sa chatte facilite un peu la chose.
- Dernière prise, Charles ! Sécrit Martine.
A chaque millimètre, Josiane a limpression que son trou de pine démesurément ouvert va se déchirer surtout que je rebande sous la pression folle que son rectum exerce sur mon mandrin.
Je la laisse bouger seule, ma verge se sent à létroit dans cette cavité prête à exploser tellement je suis à létroit. Je tape enfin au fond de son cul
-Putain, elle me broie la bite !
Si Josiane souffre comme une suppliciée consentante au purgatoire, Martine est aux anges.
-Cest pas vrai ! Il a déjà rebandé ! Tes vraiment un cas toi ! Ne me dis-pas que tu as encore envie ! Tu es une véritable bête de sexe.
Josiane est courageuse car elle est embrochée jusquà la garde. Je la laisse faire mais ma queue est devenue si sensible que le frottement me ramène vite au dernier plaisir. Sous ses muscles qui se contractent, je hurle mon bonheur sans plus aucun contrôle et me vide quelques minutes plus tard une dernière fois.
Elle sécroule sur moi, béate de plaisir et de bonheur. Nous reprenons lentement nos esprits, mon pénis toujours fiché au fond de son cul. Je suis bien. Elle se redresse enfin et se désaccouple, je sens ma grosse queue poisseuse de sperme sécraser sur mon ventre. Son anus baille et se vide entre ses cuisses dune bonne quantité de sperme.
Je crois que nous avons passé haut la main le test dentrée. Avant de nous congédier, Martine rigole :
-Franchement les jeunes, vous mavez montré une motivation extraordinaire. Je vous rappelle très bientôt. Et toi, Claude, il ne tient quà toi de devenir une star du X.
Avant de partir, elle me glisse en main un bout de papier. Une fois parti, je le déplie et lit le texte.
« Je te donne mon numéro de portable, cest quand tu veux, où tu veux, mais il faut que ça reste un secret entre nous ».
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